*Je deteste ce bruit, le bruit produit par des dizaine et des dizaine de pensionnaire, il bavarde il se déplace ils vivent, c'est insupportable*
Sans m'en rendre compte mes reflexions m'ont amené devant la bibliothèque.
*Là au moins j'aurai un peu de silence personne ne va jamais dans une bibliothèque sauf si on lui demande*
j'ouvre la porte j'entre. Je suis imédiatement saisie par un petit recueil de poésie. je me plonge dans le bouquin affalé sur une chaise, a part moi et la petite bibliothéquaire l'endroit est désert il n'y a que des rangé et des ragé d'étagère composé de multitude de livre.
*Je suis au paradis*
cette pensé ne dura que 2 seconde car la porte s'ouvrit et une silhouette humaine entra.